Oui, c'est souvent mou, ça n'a pas le côté percutant du journaliste pro, mais du coup ça gagne un peu en humanité. Ça passe de la racaille weshisante au geek puceau de père en fils (!), mais tous me touchent à leur façon. Au final, on est tous le Bidochon d'un plus élégant que nous (ou le Baron d'un moins prétentieux, à l'autre bout du spectre).
Je n'ai pas l'intention d'établir un stream régulier. Je me fous de me "faire un nom" dans ce milieu (j'ai d'autres priorités, d'autres motivations, d'autres buts à atteindre), c'est juste l'occasion de boire un verre en discutant avec des gens. Sans rentrer dans des détails un peu trop personnels pour les confier aux moteurs de recherche, un handicap m'empêche de me déplacer autant que je le souhaiterais parfois. Je n'ai donc pas toujours l'occasion de me poser dans un bistrot pour discuter avec la faune locale. Internet est un moyen comme un autre de combler ces besoins épisodiques de socialisation.
C'était juste le Playroom, enfin avec l'extension qui permet de sculpter des objets. Je ne suis pas multitâches: j'ai déjà de la peine à téléphoner en jouant, je me vois mal poursuivre 20 conversations simultanées tout en cherchant à remplir des objectifs, que ce soit du FPS nerveux ou du tour par tour pépère. Regarder un gars jouer sans qu'il ne commente rien n'a rien de bien intéressant.